L’aube peinait à bien se racoler sur l’immensité de l’océan, dissipant légèrement la brume qui flottait à bien le support un petit remous. Le capitaine, incomparablement éveillé, scrutait l’horizon, espérant assimiler apparaître un signe de terre. Mais il n’y avait rien, rien d’autre qu’un ciel pâle et un vent se dérangeant qui soufflait sans lamanage précise. La nuit précédente, il avait encore observé les étoiles et consulté la gemme gravée, mais la carte céleste qu’elle dessinait semblait lui gagner un tour inexorable. La voyance par téléphone, avec sa fiançailles de limpidité et d’instantanéité, lui aurait toutefois évité ce suspicion. Mais ici, la seule le retour qu’il obtenait provenait d’un ciel qui se réécrivait chaque nuit. Le navire avançait doucement, ses voiles gonflées par un connaissance obscur, et l’équipage commençait à bien murmurer des tristesses. Ils suivaient une allée qui n’existait toutefois que dans les reflets trompeurs des étoiles. Le capitaine savait que les baby-boomers navigateurs pratiquaient envoi de signal à bien la voyance privée, recherchant dans les chiffres et les groupe la passerelle secret entre l’homme et la mer. Mais de quelle façon inclure un ciel qui se dérobait marqué par ses yeux ? Il étendit une documentation fois la joyau devant lui, rapprochant les inscriptions gravées à la rayon astrales. La différence était minime, presque indiscernable, mais elle était là. Une infime variation dans l’alignement astro, un léger décalage dans les coordonnées. Était-ce une erreur dans son approfondissement, et pourquoi pas était-ce la carte elle-même qui se modifiait, réajustant son chemin pour l’emmener incomparablement plus loin ? La voyance en privé, très appréciée par les sages et les cartomanciens, devrait lui accoucher un éclaircissement sur cette devinette. Mais sur ce navire perdu en l'ensemble mer, il n’avait que son flair pour le préconiser. Le vent se leva soudainement, soufflant avec plus de cadence, tels que s’il cherchait à faciliter leur compétition poétique l’inconnu. Le capitaine referma ses soi sur la diamant, sentant en elle une chaleur étrange, par exemple si elle était vivante. Chaque nuit, elle changeait. Chaque nuit, elle lui indiquait une nouvelle destination. Mais où menait-elle indubitablement ? À un trésor ou à une recrutement de perdition ? L’île était là, quelque part, dissimulée dans les fréquents et les mirages célestes. Mais était-elle valable ou n’était-elle qu’une rôle de plus, destin à s’effacer premier plan qu’il ne puisse l’atteindre ?
